mercredi 2 juin 2010

jeudi 21 janvier 2010

Ziad Rahbani au Festival International du Monodrame de Fujairah

Ziad Rahbani a donné un concert mercredi 20 janvier dans le cadre du festival international du monodrame à Fujairah.

Lire , dans le lien , l'encadré bleu en milieu de page

jeudi 14 janvier 2010

Ziad Rahbani à Abou Dhabi

Ziad Rahbani se produit à Abou Dhabi jusqu'à fin février.

dimanche 19 avril 2009

Une manne.

L’autre jour en surfant au hasard sur google, je suis tombé sur ce site. Curieux, j’y suis allé faire un tour, et quelle fut ma surprise quand j’y découvris une vraie manne : une profusion de sketches et de chansons des années 1950 des frères Rahbani, inédits, avec et sans Fairuz, à télécharger. Les sites consacrés à Fairuz sur le net sont tous d’une banalité (et parfois d’une vulgarité) affligeante, qui s’intéressent à tout sauf au nécessaire, son art. Je vous laisse découvrir ses petits trésors et reviendrai prochainement pour commenter un peu plus ces sketches…

vendredi 13 juin 2008

Jean de Florette et Jesr el- Kamar

Je me suis toujours révolté contre ceux qui qualifiaient l'oeuvre des Rahbani de folklorique, tout simplement parce que l'action prenait place dans quelques unes de leurs comédies musicales dans un village ou qu'elle tournait autour de problèmes qui n'intéressent, soit disant que des villageois.
Hier, j'ai eu l'occasion de voir le roman de Pagnol, Jean de Florette (et Manon des sources), tel qu'il a été adapté par Claude Berri en 1986. L'intrigue très intéressante et assez peu traitée au cinéma est celle de l'eau, de la vie d'un village qui est suspendue à une ...fontaine. Eh oui, les bonnes idées sont universelles. En 1962, les Rahbani et Fairuz présentaient Jesr el-kamar, l'histoire de deux villages en guerre parce qu'en manque d'eau. Manon des sources m'a même rappelé Fairuz, une petite sauvageonne amoureuse, qui pour venger la mort de son père bouchera la source qui alimente tout un village en eau.

Jesr el-kamar, que j'avais depuis toujours considérée comme une comédie musicale révolutionnaire et atemporelle, me revenait à l'esprit tout au long du film, ce centre d'intérêt qui est la question de l'eau est frappant car rare. Et il n'a rien de "folklo".
Les oeuvres des Rahbani sont aussi folkloriques que celles de Pagnol. C'est à dire pas le moins du monde.